L'immobilier ancien continue sa hausse régulière. L'immobilier devient incontournable même dans les campagnes, en moindre mesure c'est vrai, mais bien réel. On peut considérer une hausse qui flirte le point de hausse à 0.9% au premier semestre 2018.
On peut considérer que la hausse de l'immobilier ancien, n'est pas surfait, il ne s'agit pas d'une bulle, mais bien "d'une relance avec ou contre Macron.
Avec Macron si l'on prend à la lettre ses mesures présidentielles, le recadrage du PTZ ou du Pinel confirment la volonté des investisseurs de se porter ainsi vers l'immobilier ancien.
Contre Macron, qui n'a pas laissé indifférent les grandes fortunes immobilières, devant la prise de décisions fiscales. De cette mesure, les investisseurs ne manquent pas d'explorer des voies nouvelles, et cela doit permettre des nouvelles transactions dans des montages financiers appropriés, suffisamment soutenus pour voir les hausses immobiliers au beau fixe.
De cette mesure, les investisseurs ne manquent pas d'explorer des voies nouvelles, et cela doit permettre des nouvelles transactions dans des montages financiers appropriés, suffisamment soutenus pour voir les hausses immobiliers au beau fixe.
Le marché immobilier est dans un courant soutenu. Qu'il s'agisse des zones urbaines et notamment les zones dites tendues, des zones de villes moyennes ou petites, le train de l'immobilier s'est mis en marche, partout à des degrés moindres certes.
Bien entendu, les aspects du marché immobilier doivent être observés en tenant compte des critères standards avant de se lancer tout de go. Pour autant, les écarts sont très marqués et répondent tout droit à des actions politiques prises (bonnes ou mauvaises). Si la ville vient de réhabiliter des quartiers sensibles, si la ville déplace l'aéroport vers les nouvelles zones stratégiques, alors, la construction d'immeubles collectifs concentrés par zone et par classification locatifs, accession résidentielle primo accédant, distribution de logements sociaux en nombre suffisant, influe directement sur le marché de l'immobilier.
Dans cette situation loin d'être fictive, les prix de l'immobilier neuf se sont emballé, les prix de l'ancien souffrent immédiatement du décalage de la qualité énergétique et thermique à comparer avec l'immobilier neuf , ajouter à cela les décrets de rénovation des immeubles en vente, et l'on comprend mieux le marché immobilier dégradé de certaines villes moyennes de province.
Les villes bien connues se retrouvent dans les journaux spécialisées : Rennes, Bordeaux, Lyon et Lille à son niveau. Les prix augmentent quasiment à l'envi, Chez KG Credit on note que les acheteurs ne négocient plus les prix vendeurs, les agences immobilières contrôlent le mode de vente, et les courtiers voient se reporter des rendez vous de clients à la recherche de biens immobiliers qui n'ont pas saisi l'affaire à leur portée.
La hausse dans les grandes villes ont peut être atteint l'acmé du marché de l'ancien. Paris montre la tendance avec un certain assèchement des offres de biens de qualité. La remarque toutefois vient du pouvoir d'achat des acheteurs qui ne surenchérit plus. De la sorte le balancier du marché de l'immobilier se trouve d'une certaine manière en équilibre.
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