A la mi septembre le marché immobilier tient promesse au delà des pronostics. Les taux d'intérêt sont au plus bas historiques. L'observation rapporte une tendance qui contrarie les logiques bancaires. En effet, la hausse était inéluctable, semble t il ?
Le jour se lève sur une considération sortie de nulle part. Le marché de l'immobilier devait subir les effets des mesures prises par le gouvernement sous la Macronie. Bien sûr il y a eu des variations notamment concernant les primo accédants. Les investisseurs grâce à la loi Pinel n'ont pas fléchi. Le taux de prêts immobiliers est un indicateur fiable.
Le taux immobilier devait augmenter, dixit les banques, puis les professionnels qui tenaient un discour alarmiste. Dans l immobilier actuel, le taux d'intérêt de votre prêt, est essentiel. Avant de lancer son projet immobilier vous comparez les taux, vous sollicitez le conseil d'un courtier en credit immobilier pour obtenir les meilleures conditions.
L'observatoire du crédit Logement CSA rapporte des chiffres qui se profilent en sens inverse. Les taux n'ont cessés de diminuer. L'étude de la banque de France va dans le même sens, les taux baissent de mois en mois de plus ou moins un point de base par mois, du jamais vu.
Aujourd'hui, KG Credit affiche un taux de crédit inférieur à 1% sur 15 ans et 1.20% sur 20 ans, pour le meilleur taux en moyenne des crédits immobiliers, hors assurance.
Par ailleurs, nous avons constaté que le mois d'aout 2018, est resté actif, même au creux du 15 aout.
En revanche, la reprise de septembre est beaucoup plus molle que l'an dernier ?
Les établissements bancaires ont joué un rôle moteur dans la distribution du crédit immobilier, il faut dire que la concurrence des banques entre elles donnent une explication à ce constat.
Ajoutons également le rallongement de la durée de remboursement des crédits jusqu'à 25 ans, ce qui permet "d'éponger" la hausse de l'immobilier par le maintien de la mensualité au niveau antérieur.
Cela rapproche un peu plus l'emprunteur du locataire sur le plan rapport mensualité sur loyer.
Alors, les professionnels se prennent à évoquer le maintien des taux jusqu'à Noël, mais qui sait ?
Avançons un argument qui touche l'assurance emprunteur. En effet, est ce que les emprunteurs recherchent ils les assurances individuelles par opposition à l'assurance des banques. Il est encore trop tôt pour le dire.
Par contre il n'est pas impossible que les banques s'inscrivent dans une démarche défensives et présentent une offre globale avec un taux "étriqué", force est de constater que le marché de l'immobilier est soutenu, malgré la tendance baissière connu au printemps dernier.
La coutume veut que l'année bancaire soit divisée en 10 mois, c'est à dire que la fin juillet, annonce la tendance du dernier trimestre de l'année, Les objectifs atteignant 60 à 70% à cette période.
La hausse de l'immobilier dans pratiquement toutes les villes soutiennent le marché, et jouent peut être en la faveur des emprunteurs.
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