Marché financier et crise institutionnelle? Alors que le marché de l'immobilier repart à la hausse de manière uniforme désormais, des éléments extérieurs au plus haut niveau de l'Etat génèrent des turbulences. Doit on remettre en cause son projet de financement en pareille situation?
La réponse n'est pas univoque, chacun doit analyser sa situation en tout premier lieu en fonction de la stabilité de son emploi, secondo de sa famille, de l'état d'avancement du projet et plus encore du montage financier.
Car, il est un point important à prendre en compte, les conditions du pret immobilier tout au long du processus d'instruction. En effet, ces conditions ne sont acquises qu'au moment de signer l'offre éditée par la banque.
Autrement dit une hausse de taux d'intérêt immobilier, en cours d'instruction peut faire varier directement le budget du ménage.
Quelles sont ces raisons qui feraient varier les taux d'interet immobilier?
Faut il faire appel à M KEYNES pour remettre la France en ordre de marche?
à l'instar de l'Angleterre?
Comment opérer en zone euro?
La commission pousse en ce sens vers l'adoption des budgets expansionnistes pour 2017, à hauteur de 0.5 point de PIB. Ce levier pourrait il booster la croissance trop molle, en contradiction au pacte de stabilité?
La relance budgétaire de L'Europe suppose une union politique?
L'OCDE préconise de voir les investissements supplémentaires consacrés aux projets qui augmenteraient la croissance des pays, sans soutenir la consommation chère à la gauche.
La France en ce domaine ne peut laisser filer la dépense qui est au taquet depuis trop longtemps, alors que les réformes structurelles sont remises au calendes grecques, notamment la simplification tellement annoncée.
Alors que la gauche peine à s'arrimer.
Le dimanche devient non seulement le dossier feuilleton, mais le mélo qui se joue entre le premier ministre et le chef de l'Etat, par presse interposée.La question n'est plus la récurrence du nombre de chômeurs, encore moins de la façon de les recenser dans les classes A, B, C ou D, mais bien de savoir qui pourra se saisir du siège de Président de la République.
La France et sa sécurité, n'ont plus cours ! le sauvetage passe par les intérêts personnels avant tout.
Nous avons reçu 5/5 les appréciations des dirigeants au gouvernement qui n'approuvaient pas les comportements déloyaux d'un certain Brutus ? Nous avons là tous les prémices d'une crise à la tête de la Direction de la France.
Il reste encore 5 mois avant une remise en ordre de la boîte à outils, engluée dans ce magma ?
L'Italie vote le 4 décembre prochain pour ou contre le projet de réforme constitutionnelle présenté par Mattéo Renzi. Le "non" fortement probable ! entrainerait une crise politique indéniable voire majeure, M Mattéo Renzy envisage sa démission de la présidence du conseil en pareil scénario. Le problème de la dette en Italie est une dimension comparée à la France car c'est pas moins de 2.172 milliards soit 130% du PIB d'Italie. La BCE continue le rachat de titres obligataires italiens. c'est environ 14 milliards de rachat de dette Italienne que la BCE exécute régulièrement.
Clairement le "non" utilisé au gré de chaque votant cristallisera la grogne ambiante . Le choix risque fort de dépasser la question originelle posée .
Un "NON" serait de toute façon synonyme de désordre et pèserait inévitablement sur les marchés financiers. A l'instant des petites banques de province, en rémission de sauvetages, bien que privées, elles conduiraient le gouvernement à garantir la survie de ces établissements.
Le renoncement du gouvernement serait la faillite avec les conséquences irrémédiables, à l'instar des banques grecques. Le scénario adopté par les pays de la zone en cas de faillite d'une banque serait de recourir au prélèvement sur les comptes des déposants. Un tel scénario donnerait un signal strident en faveur du BREXIT . ITALBREXIT ? yès or no ? Tel est bien la question au travers ce référendum?
La crise institutionnelle, nous montre que l'équilibre des banques dépend tout autant du soutien politique que des aléas financiers.
Le Défaut essentiel à mes yeux tient au fait de porter le fer dans le flanc des banques au prétexte (facile) de leur opposer les rendements des capitaux, et la sacro- sainte haine de la finance.
En réalité, la mise en concurrence entre les banques entre elles et notamment les banques en ligne, conjuguées aux interventions du " législateur" remet en cause les fondements même du commerce bancaire. A titre d'exemple la possibilité de renégocier la cotisation d'assurance de son emprunt chaque année fragilise le contrat établi au moment du financement. Il faut savoir qu'une banque est un commerce comme les autres, quand il achète la ressource sur les marchés à des conditions contractuels. Le fait de remettre en cause à tous moments les contrats (qui sont des lois pour qui les signe) précarise la gestion de la finance bancaire.
La finance est au coeur de la politique en France et en Europe. L'erreur de faire croire ou laisser croire qu'elle est une ennemie conduit inévitablement à la catastrophe. Qui aurait prédit la crise des subprimes et l'effet de domino d'une banque à l'autre? Pourquoi tenir un discours discordant contre la finance en général, comme pour se donner bonne conscience, et se soucier dans le même temps du stress test et de l'accord de Bâle, en particuleir, pour une sécurité financière renforcée.
Ces articles vont vous intéresser