Les taux de credits immobiliers font du yoyo. Malgré la tendance, quelques exceptions sont à relever. Des taux de crédit en léger déclin de 0,01% à 0,03% se remarquent dans l'homogénéité des barèmes reçus chez KG Credit. La moyenne du taux de crédit immobilier pour une durée de 10 ans s'affiche entre 1,14 et 1,15% . Un crédit immobilier d'une durée de 15 ans est offert à 1,35%. Actualité du crédit immobilier dernier trimestre 2017
Bien entendu, les profils sont à examiner. Pour autant, on ne saurait dire, à proprement parler, quelle est la tendance à retenir. Une légère brise ne chamboule pas les barèmes de financement, d'une banque à l'autre.
En effet, la connaissance des points forts et faibles des dossiers, les profils des clients, en adéquation (ou non) avec les recherches des banques partenaires, donnent le "la" de la "négociation". Dans l'ensemble, depuis Septembre où la reprise de l'activité annonçait clairement la couleur, nous sommes entrés dans le dernier trimestre 2017.
A ce propos, rien ne servirait de vanter telle ou telle négociation récente pour attirer le chaland. Selon les dossiers, voire les bons dossiers, les banques font des efforts ciblés. Dans l'ensemble, nous rformulerons un avis des plus prudents, car la fin de l'année se profile, annonçant l'atteinte des objectifs commerciaux des acteurs financiers.
Bien sûr, les dossiers de primo-accédants concentrent les efforts des courtiers et des banques. Il faut ficeler les dossiers PTZ 2017 avant le 1er décembre 2017, pour plus de tranquillité. Cette posture pour le primo-accédant n'est pas la plus confortable ; les taux des prêts complémentaires subissent une hausse pouvant atteindre 0,1% au plus. Cette majoration ne remet pas fondamentalement en cause le nombre de mètres carrés optimum du projet de construction.
Alors que la première moitié de l'année 2017 s'ouvrait sous les meilleures hospices, le balancier du choix présidentiel et les premières déclarations du nouveau Président ont peut être "douché les investisseurs". En outre, le prolongement ou non, de la Loi Pinel, s'est fait attendre.
Les promesses du nouveau Président se heurtent à la réalité des finances publiques. Chaque nouvelle dépense doit être contrebalancée par des économies... ou de nouveaux prélèvements !
Le marché de l'immobilier représente à lui seul 10% du PIB, soit une plus value de 217 milliards d'euros !. Cette perspective n'a pas échappé semble-t-il à Bercy.
Justifier la ressource convoitée par un message copier-coller à la manière "Duflot" rend la tendance douteuse !. Ce signal en période législative justifie peut être le ralentissement aussi nettement ressenti au cours de l'été. Alors que septembre reprend des couleurs immobilières presque aussi flamboyantes que les couleurs d'automne, survient hélas, le coup de rabot sur l'APL, et enfin l'annonce d'une dose de CSG à 17,2% sur le versement des loyers qui ont suffi à faire fléchir la courbe de la progression des crédits immobiliers 2017.
La BCE ne modifie pas ou peu son action en soutien des finances européennes. La croissance se confirme, autant de bons indicateurs pour le marché de l'immobilier pour entamer l'année 2018.
Le concours, croissance, inflation, pouvoir d'achat et salaires feront ils la part belle à l'augmentation des taux d'intérêts, rien n'est joué !
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